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Quelques conseils pratiques pour marcher selon l’Esprit Saint

Quelques conseils pratiques pour marcher selon l’Esprit Saint

 

Quelques conseils pratiques pour marcher par l’esprit de Donald SORO

Notre étude de la marche par l’esprit ne doit pas aboutir à une connaissance intellectuelle stérile, qui ne ferait que nous enfler. Mais elle doit nous permettre de mettre en pratique tout ce que nous avons appris, sous la conduite du Saint-Esprit.

Les principes bibliques de la marche par l’esprit sont simples à comprendre. C’est un avantage, mais cela peut aussi représenter un inconvénient. En effet, le fait d’avoir compris ces principes peut nous donner la fausse assurance que cette compréhension nous suffit pour marcher par l’esprit. Or, rien n’est moins vrai.

Pour marcher par l’esprit, nous devons certes avoir compris ces principes de base. Mais nous devons, si nous sommes nés de nouveau, nous placer de tout notre coeur devant le Seigneur pour nous engager à permettre au Saint-Esprit de nous conduire à appliquer ces principes dans notre propre vie, afin que nous les mettions en pratique.

Notre compréhension intellectuelle doit aboutir à une remise en question personnelle, et à des changements profonds dans notre manière de penser et notre mode de vie. Nous devons absolument progresser spirituellement, c’est-à-dire devenir de moins en moins charnels et de plus en plus spirituels.

Si nous voulons devenir de moins en moins charnels, il est nécessaire que le Seigneur nous révèle clairement tout ce qui est encore charnel en nous. Et Il ne pourra nous donner cette révélation que si nous sommes nous-mêmes ardemment désireux qu’Il nous la donne.

Ce qui est charnel ne se limite pas à tout ce qui est grossier, à tout ce qui est péché manifeste. Mais cela concerne aussi toutes les manifestations subtiles de la chair. Seul le Seigneur connaît parfaitement tout ce qui est charnel en nous, et Lui seul peut nous le révéler, et nous montrer comment nous en délivrer.

La tendance naturelle de la chair est de nous aveugler sur notre état spirituel réel, et de nous faire croire que nous sommes bien plus spirituels que nous le sommes en réalité. La chair ne veut pas disparaître. Elle va tout faire pour nous tromper, et pour détourner notre attention du véritable problème qui intéresse le Seigneur.

La chair cherchera toujours à nous faire croire que la source de tous nos problèmes est extérieure à nous, que ce sont « les autres » qui sont les responsables de nos malheurs, et que ce sont « les autres » qui doivent changer!

La chair nous fera toujours croire que si nous agissons sur « les autres » et sur notre environnement, pour les transformer de manière acceptable par nous, cela nous permettra de nous comporter de manière plus spirituelle. Quel mensonge! Nous ne pourrons changer le monde que si nous changeons nous-mêmes!

Ce n’est pas en cherchant à « ôter les pailles » des yeux des autres que nous pourrons « ôter les poutres » qui sont dans nos propres yeux!

Le Seigneur veut attirer notre attention prioritaire sur la résolution de nos propres problèmes, et sur l’amélioration de notre propre état spirituel, avant de nous attacher à résoudre les problèmes des autres, ou à améliorer leur état spirituel.

En effet, nous ne pourrons réellement faire du bien aux autres que si nous le faisons avec une bonne attitude spirituelle, dans l’amour et dans l’Esprit. Or, si nous sommes charnels, et si nous nous mêlons alors de vouloir aider des autres, nous ne serons pas en général un élément de solution, mais nous ne ferons qu’augmenter les problèmes: les nôtres, et ceux des autres.

Rappelons les trois principes fondamentaux de la marche par l’esprit:

- En tant que nouvelles créations en Christ, nous avons reçu un esprit entièrement nouveau, créé à l’image du Seigneur, dans Sa justice Sa perfection et Sa sainteté. Cet esprit nouveau est notre vrai « moi » spirituel, notre vraie et unique nature en Christ.

- Notre esprit régénéré est toujours « incarné » dans un corps physique dans lequel habite aussi une puissance de péché et de mort. Mais cette puissance de péché est complètement étrangère à notre nouvelle nature, à notre « homme spirituel » intérieur régénéré.

- Entre notre esprit régénéré et la puissance de péché qui demeure dans nos membres, se dresse la barrière infranchissable de la croix, de la mort et de la résurrection de Jésus, qui sont aussi les nôtres. Si nous demeurons par la foi dans notre position spirituelle en Christ, nous savons que nous avons définitivement échappé à l’emprise et à la domination de la puissance de péché qui demeure dans nos membres. Nous pouvons alors permettre à la vie de résurrection de l’Esprit de Dieu de se manifester dans tout notre être.

La compréhension de ces vérités spirituelles est indispensable pour commencer à apprendre à marcher par l’esprit. Mais une simple compréhension intellectuelle n’est pas suffisante. Nous devons encore tirer toutes les conclusions pratiques qu’entraîne cette compréhension pour notre vie pratique.

Nous devons être déterminés à vivre concrètement ces vérités, à les appliquer dans notre comportement de tous les jours, afin que le caractère de Christ, qui est aussi le caractère de notre nouvelle nature, se manifeste pleinement en nous.

Quelle devrait être notre attitude, une fois que nous avons compris intellectuellement les trois principes fondamentaux que nous venons de rappeler?

Après avoir compris que Dieu nous a donné une nouvelle nature entièrement à Son image, parfaite, sainte et pure, nous devons pleinement accepter cette vérité dans notre coeur. Nous devons croire ce que nous révèle la Parole de Dieu. Nous devons nous identifier pleinement à notre nouvelle nature, puisque cette nouvelle nature est réellement notre nouveau « moi » spirituel.

Nous devons prier le Seigneur qu’Il rende vivante en nous cette réalité, en Se révélant toujours plus à nous. En effet, comme nous avons été recréés à Son image, toute progression dans notre connaissance du Seigneur nous permettra aussi de mieux comprendre ce que nous sommes nous-mêmes en Lui. En gardant nos yeux fixés sur Jésus, nous comprendrons toujours mieux la grâce qu’Il nous a faite, de nous donner une nouvelle nature parfaitement semblable à la Sienne!

Nous devons donc « oublier » tout ce que nous étions avant notre nouvelle naissance, pour nous remplir constamment des pensées et des sentiments qui sont conformes à notre nouvelle nature.

Nous devons accepter le fait que notre nouvelle nature n’a plus rien à voir avec notre ancienne personnalité non régénérée. Les désirs, les sentiments, et les pensées de notre vieille nature étaient ceux de Satan. Les désirs, les sentiments, et les pensées de notre nouvelle nature sont ceux du Seigneur Jésus.

Notre « vieil homme » est mort avec Christ. Tout ce que ce « vieil homme » avait patiemment construit en nous, au cours de notre vie passée de péché, doit à présent être entièrement détruit et renversé, pour que Dieu puisse bâtir ce « temple nouveau » que nous sommes en Christ. Nous devons pleinement manifester dans la réalité matérielle l’homme nouveau que nous sommes déjà dans la réalité spirituelle.

Nous sommes, dans notre esprit, « assis en Christ dans les lieux célestes ». Mais nous devons aussi apprendre à marcher comme Christ dans les lieux terrestres. Et nous ne pourrons le faire que si nous sommes pleinement conscients de ce que nous sommes déjà en Christ dans l’esprit, et si nous l’avons pleinement accepté par la foi.

Après avoir compris qu’il reste, dans nos membres, une puissance de péché et de mort, qui est la « soeur jumelle » de notre ancienne nature, nous devons aussi comprendre que c’est cette puissance de péché et de mort qui est la source de tout ce qui est encore charnel dans notre vie concrète. Notre esprit régénéré a échappé à l’emprise du péché et de la mort, mais pas encore toute notre vie pratique.

Notre âme et notre corps physique doivent être purifiés de toute emprise du péché et de la mort, afin qu’ils puissent devenir, entre les mains du Seigneur, des instruments de justice à Son service sur cette terre.

Nous devons donc prier ardemment le Seigneur de nous révéler pleinement tout ce qui est encore charnel en nous, dans notre âme, dans notre comportement, dans nos réactions, dans toute notre vie.

Nous devons avoir le désir ardent de nous remettre toujours en question devant le Seigneur et devant les autres, afin de mettre en lumière toutes les mauvaises oeuvres de la chair, et les éliminer de notre vie.

Cela représente une démarche éprouvante, mais nécessaire, si nous voulons progresser spirituellement. Rien ne doit nous arrêter dans le déroulement de ce processus de purification et de sanctification, et nous devons être absolument déterminés à le mener jusqu’au bout, c’est-à-dire, jusqu’à notre mort physique, ou jusqu’au retour du Seigneur pour enlever Son Eglise.

Sinon, le Saint-Esprit ne pourra pas nous éclairer, et nous courrons le risque grave de « tourner en rond dans notre désert spirituel », de nous endormir spirituellement dans une fausse satisfaction, et dans le sentiment trompeur que les autres ont davantage besoin de changer que nous!

Nous serons puissamment aidés dans ce processus de purification, quand nous aurons compris la laideur hideuse de cette puissance de péché et de mort qui habite dans nos membres. Nous ne sommes pas encore délivrés de sa présence, mais nous sommes délivrés de son emprise.

C’est pour nous délivrer de la domination de cette puissance que notre Seigneur est mort! Nous ne pouvons donc pas nous permettre d’être négligents ou insouciants, lorsqu’il s’agit de notre sanctification. Il s’agit d’une véritable guerre de l’Eternel.

Nous avons un pays de Canaan spirituel à conquérir, et nous ne pouvons pas nous permettre de laisser vivre dans ce pays le moindre ennemi, petit ou grand! Tout ce qui est encore charnel en nous doit être identifié et détruit sans pitié!

Aucune trace de péché ni de chair n’a sa place dans le Royaume de Dieu! Rien de charnel ne peut entrer dans les lieux célestes, où nous sommes établis en esprit! Pourquoi accepterions-nous d’être encore indulgents vis-à-vis de certaines oeuvres de la chair que nous pourrions continuer à pratiquer, consciemment ou inconsciemment?

Si nous ne sommes pas déterminés à identifier et à « mettre à mort » tout ce qui peut encore être charnel en nous, cela signifie que nous n’avons pas encore compris à quel point la chair, en tant que puissance de péché et de mort, est haïssable aux yeux du Seigneur! Cela signifie que nous sommes encore attachés, dans le fond, à quelque chose que le Seigneur a condamné à mort.

Lorsque nous avons compris qu’entre notre nouvelle nature spirituelle, et la puissance de péché qui habite dans nos membres, se dresse la barrière infranchissable de la croix, nous ne devrions avoir qu’un seul désir: rester en permanence installés dans notre position spirituelle en Christ, et veiller en permanence à ne pas redescendre à un niveau où cette puissance de péché pourrait nous contrôler.

Nous ne devons pas quitter le domaine de la foi et de la grâce. C’est par grâce que Dieu nous a rendus capables, en Christ, de marcher comme Son Fils. C’est par la foi que nous devons mettre en oeuvre cette capacité!

Nous devons sans cesse méditer ce que signifie pour nous la mort et la résurrection de Jésus. Nous devons en particulier méditer les épîtres de Paul, car c’est lui qui a reçu la révélation la plus profonde de la croix et de la marche par l’esprit.

Nous devons nous rappeler constamment qu’il n’y a pas de mise à mort sans résurrection subséquente, ni de résurrection sans mise à mort préalable! Si nous voulons pleinement bénéficier de la Vie de Résurrection de Christ, nous devons comprendre la signification de Sa mort, et en retirer tout le bénéfice que nous devons en retirer.

C’est en Sa mort que Christ a emporté toute la malédiction qui pesait sur nous depuis la chute d’Adam et d’Eve! C’est en Sa mort qu’Il a emporté le péché, nos péchés, notre ancienne nature de péché, et toutes les conséquences du péché!

C’est aussi par Sa résurrection que Christ nous a acquis cette nouvelle naissance qui assure notre pleine entrée dans le Royaume de Dieu notre Père!

C’est en méditant ces vérités éternelles que notre foi en l’oeuvre de Christ pourra grandir constamment. Et c’est par cette foi que nous pouvons nous installer de plus en plus profondément, et de plus en plus consciemment, dans notre véritable position spirituelle, bien au-dessus de Satan, de tous ses démons, du péché, de la chair et du monde!

Plus nous serons consciemment établis dans cette position céleste, et plus notre marche par l’esprit sera ferme et assurée. Car nous serons de plus en plus conscients de la puissance infinie de la mort et de la résurrection du Seigneur Jésus, et de toutes les implications pratiques de cette mort et de cette résurrection pour notre marche pratique sur cette terre!

Notre amour pour le Seigneur est proportionnel à notre désir de marcher par l’esprit. C’est par amour pour Jésus et pour Sa gloire que nous désirons marcher sur cette terre comme Lui-même y a marché.

Nous bénéficierons de toute l’assistance du Saint-Esprit si nous désirons glorifier le Seigneur dans notre vie. Jésus est mort pour nous délivrer du péché et de la mort. Il a souffert pour nous affranchir de toutes les conséquences de la chute. Il ne peut que Se réjouir de voir Ses enfants désirer ardemment bénéficier pleinement de toute Son oeuvre à la croix!

Ne soyons plus parmi ceux auxquels l’apôtre Paul s’adressait, en leur disant:

« Pour moi, frères, ce n’est pas comme à des hommes spirituels que j’ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter; et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels. En effet, puisqu’il y a parmi vous de la jalousie et des disputes, n’êtes-vous pas charnels, et ne marchez-vous pas selon l’homme? » (1 Cor 3: 1-3).

« Mais si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde que vous ne soyez détruits les uns par les autres. Je dis donc: Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair. Car la chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. Si vous êtes conduits par l’Esprit, vous n’êtes point sous la loi. Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu. Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance; la loi n’est pas contre ces choses. Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit » (Galates 5: 15-25).

Ceux qui sont à Jésus-Christ ont « crucifié la chair avec ses passions et ses désirs ». Cela signifie qu’ils ont appris à ne plus se laisser dominer par la chair. Ils ne se contentent pas de « vivre par l’Esprit », c’est-à-dire d’être passés par une nouvelle naissance. Mais ils savent aussi « marcher selon l’Esprit ».

Ils ont cherché le Seigneur pour qu’Il leur montre comment marcher par l’Esprit! Et le Seigneur le leur a montré!

Ils peuvent donner sur cette terre un témoignage digne de Celui qui les a sauvés de l’emprise du péché!

« Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés; et marchez dans la charité, à l’exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. Que l’impudicité, qu’aucune espèce d’impureté, et que la cupidité, ne soient pas même nommées parmi vous, ainsi qu’il convient à des saints. Qu’on n’entende ni paroles déshonnêtes, ni propos insensés, ni plaisanteries, choses qui sont contraires à la bienséance; qu’on entende plutôt des actions de grâces. Car, sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c’est-à-dire, idolâtre, n’a d’héritage dans le royaume de Christ et de Dieu. Que personne ne vous séduise par de vains discours; car c’est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur les fils de la rébellion. N’ayez donc aucune part avec eux. Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière! Car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité » (Ephésiens 5: 1-9).

« Ainsi donc, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez en lui, étant enracinés et fondés en lui, et affermis par la foi, d’après les instructions qui vous ont été données, et abondez en actions de grâces » (Colossiens 2: 6-7).

Tout ce que Christ a rendu possible pour nous par Sa grâce, rendons-le effectif dans notre vie par notre foi!

« Alors ceux qui craignent l’Eternel se parlèrent l’un à l’autre; l’Eternel fut attentif, et il écouta; et un livre de souvenir fut écrit devant lui pour ceux qui craignent l’Eternel et qui honorent son nom. Ils seront à moi, dit l’Eternel des armées, ils m’appartiendront, au jour que je prépare; j’aurai compassion d’eux, comme un homme a compassion de son fils qui le sert. Et vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas. Car voici, le jour vient, ardent comme une fournaise. Tous les hautains et tous les méchants seront comme du chaume; le jour qui vient les embrasera, dit l’Eternel des armées, il ne leur laissera ni racine ni rameau. Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le soleil de la justice, et la guérison sera sous ses ailes; vous sortirez, et vous sauterez comme les veaux d’une étable, et vous foulerez les méchants, car ils seront comme de la cendre sous la plante de vos pieds, au jour que je prépare, dit l’Eternel des armées » (Malachie 3: 16 – 4: 3).

Que ce Jour de l’Eternel soit pour nous un sujet de joie parfaite, et non de honte et de regrets amers!

Un enseignement de Henri VIAUD-MURAT
source : http://bloghenriviaudmurat.wordpress.com



10/08/2011
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